David Christoffel on Tue, 2 Mar 2004 13:53:30 +0100 (CET)


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[nettime-fr] Trans.: forward n°010


----- Message transféré de David Christoffel <david.christoffel@free.fr> -----
   Date : Tue,  2 Mar 2004 13:04:13 +0100
     De : David Christoffel <david.christoffel@free.fr>
Adresse de retour :David Christoffel <david.christoffel@free.fr>
  Sujet : forward n°010
      À : encorevous@hotmail.com

"Quand c'est irrésistible Alors ce n'est pas grave Si c'est inévitable Foncer 
la tête baissée, ça commence par Ne pas se disperser Si on se battait vraiment 
pour de grandes idées, seraient-elle plus fermes Pour la moindre raclure, il y 
aura toujours des fonds de tiroir C'est quand c'est le plus fort Que ce n'est 
qu'une impression"
On se remercie des grands courriers, leur justesse a fait du bien, 
une espèce de réussite – fausse, plus qu'illusoire – m'en détache trop, 
peut-être, j'ai l'impression, faudrait-il qu'on en parle ;  
tour à tour, ces courriers me disent très souvent qu'ils ne m'en diront pas 
plus 
et peut-être qu'il faudrait plus pour qu'ils disent et sans doute que rien 
n'assure qu'il faille ce "dire". Mais. Je préfère m'entendre à bien le vous, 
toyé, attentif que l'oreille trop précieuse pour s’alimenter avec des 
histoires personnelles. Ou bien, faudrait-il se donner les moyens, élancer une 
correspondance 
dans ce sens précisément ce que nous voulons peut-être, sans nous en vouloir 
les justes dignitaires, une amitié sans le personnel. Comment te dire que je 
suis partant si je doute que tu ne me dises, pour le reste : 
[ce dont tu me parles, c’est une vieille connaissance, oui ; sympathique, 
parfois. Si tu préfères que ses compliments te valent une émotion cabossée, si 
c’est juste pour mettre à la place d'une douce et noire, je crois le connaître 
assez pour savoir qu'il t'aurait écrit plus tôt s'il avait aimé ce qui est 
venu à ce moment là.]  
Alors, si tu veux ne pas me raconter les choses personnelles, c'est que je me 
sens d'attaque pour densifier l'impersonnel (Est amitié ?), 

Continuation du 02.03.04

Il faut quelque chose comme ça : la grandeur est présumée : un côté 
antipathique dégage bien : le moins du monde fait une nappe : plutôt 
respectable, comme ça passe par en-dessous, c’est bien ça, il suffirait de 
prendre plutôt à pleines dents : l’appétit n’y est pas toujours : c’est à 
l’heure où ça paraît naturel que c’est délectable, un peu et juste ce qu’il 
faut : soudain, la grandeur est présumée et le côté antipathique n’a que 
faire : parce qu’il n’y a pas à le raconter, ailleurs, ils n’en auraient que 
faire et, par défaut, c’est un secret qui, jamais, n’a de problème 
d’antipathie, même si Par défaut.

© David Christoffel

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